De quoi s'agit-il ? Dans le cadre d'un divorce, une réduction d'impôt est accordée au débiteur d'une prestation compensatoire versée en capital : cette réduction, de 25 %, est plafonnée à 30 500 euros sur douze mois. Je souhaite mettre fin à cet ovni fiscal qui fait assumer au contribuable français le règlement d'un litige privé, en l'occurrence un divorce. Nous avons tous intérêt à chasser ce type de dispositif, dont la suppression serait positive pour nos finances.