En Guyane, nous participons bien à cette journée consacrée à la résilience.
Le point le plus intéressant est constitué par le plan de formation destiné aux habitants de l'intérieur et à la population des fleuves. Ce plan pluriannuel a déjà permis de former 800 d'entre eux aux gestes de premier secours. Il nous paraît assez pertinent et bien ciblé.
Nous envisageons aussi d'organiser un conseil scientifique placé auprès de l'ARS, pour l'aider à décider mais également à apprécier de manière prospective les risques associés aux zoonoses émergentes ou les conséquences du réchauffement climatique sur le système de soins guyanais.