Nous pensons au contraire que son témoignage était important et qu'elle était en pleine possession de ses moyens.
Puisque vous prenez l'exemple des otages, nous nous sommes fixé pour règle de ne jamais montrer leur visage lorsqu'ils sont raccompagnés jusqu'à la frontière pour être libérés, tant qu'ils sont aux mains du Hamas. Nous considérons que cela porterait atteinte à leur dignité – ce qui n'est pas le cas de toutes les chaînes. C'est un exemple parmi tant d'autres de la manière dont nous déterminons ce qui est montrable et ce qui ne l'est pas, afin de respecter la dignité des personnes.
En revanche, nous n'estimons pas avoir attenté à celle de l'otage que vous avez évoquée. Au contraire, nous pensons avoir donné des informations importantes sur les horreurs que le Hamas a fait subir aux otages.