Je vous remercie pour vos interventions passionnantes, dont certaines ont permis de battre en brèche quelques idées reçues. Je vous avoue néanmoins que je reste un peu sur ma faim concernant votre réponse à la question de l'impact de la bifurcation écologique dans la prise en compte de financements supplémentaires. Je m'interroge également sur la récente réforme qui instaure une parité avec l'euro et qui, je le redoute, sera pénalisante pour la compétitivité des économies africaines.