Il n'y a eu, en aucun cas, une volonté de jouer sur les chiffres. Notre obligation est de diffuser majoritairement des documentaires et des magazines : c'est au sujet de la somme de ces deux genres que l'Arcom pourrait intervenir.
Quand nous faisons une acquisition sur le marché des droits ou, dans une moindre mesure, de la production, nous nous demandons comment nous pourrons l'exposer au mieux. Certains documentaires tiennent debout tout seuls, si vous me passez l'expression ; pour d'autres, en revanche, nous estimons qu'un plateau de lancement, que nous pouvons réaliser nous-mêmes, comme nous l'avons fait pour certaines émissions, permet d'enrichir le programme. Cela dépend très fortement du contenu qu'on achète.