Comprenons-nous bien : mon souci est moins la rentabilité de vos chaînes que de savoir si votre optimisme actuel est plus fondé que celui que vous manifestiez lors de votre candidature en 2011. À l'époque, vous saviez déjà que M6 avait mis sept ans avant d'être rentable et que le paysage était changeant. Les projections sur lesquelles vous aviez appuyé votre candidature auraient donc pu être plus proches de la réalité.