D'abord, je suis un optimiste inguérissable. Surtout, il existe une forte complémentarité entre la télévision et la radio. La radio est encore plus forte lorsque sa régie peut commercialiser des offres télévisuelles. Le groupe propose la première offre commerciale de France pour les 25-49 ans. L'apport de nos chaînes pour ce public contribue à la vente de la radio. C'est très vertueux pour nos stations de radio et pour nos chaînes de télévision. Mais tout cela est très long. La télévision est un métier de coûts variables, alors que la radio est un métier de coûts fixes, et sa rentabilité dépend des sommes investies dans les programmes. Je reste néanmoins très confiant sur l'atteinte du point d'équilibre à brève échéance. Nous sommes sur la bonne voie.