Il vise à donner à la Cnil la possibilité de réaliser des contrôles aléatoires chez le consultant ou le prestataire qui a réalisé une mission pour le compte d'une administration. Cela nous semble plus efficace qu'un contrôle conditionné à un doute de ladite administration ou d'un tiers.
Un tel contrôle aléatoire suppose que la Cnil ait connaissance de tous les contrats conclus entre un prestataire ou un consultant et une administration. C'est pourquoi le présent amendement prévoit aussi que l'administration bénéficiaire notifie systématiquement les contrats à la Cnil.