J'aimerais poser quelques règles, chers collègues. Je vous demande de ne pas vous interpeller les uns les autres, de ne pas vous provoquer mutuellement, de ne pas faire de mises en cause personnelles. Si nous devions revivre ce à quoi nous venons d'assister, je prendrais des sanctions, le cas échéant.
Vous savez que je suis très attachée au débat et que je laisse une large place à l'expression de chacun, mais il y a des limites. Nous allons maintenant poursuivre dans le calme la discussion de ce texte particulièrement intéressant et revenir à l'amendement n° 117 .
La parole est à M. Bruno Millienne, rapporteur, qui souhaitait apporter quelques précisions.