L'un des axes qui nous restent à explorer est celui des apports de nouvelles technologies, de nouveaux capteurs. Comment faire de la détection précoce ? On parle de l'internet des objets, et j'entendais hier évoquer une constellation de nouveaux satellites reliés qui fourniront des informations spécifiques. Quel sera également l'apport de l'intelligence artificielle ? Il y a là des nouveaux domaines, qu'il faudra travailler. Nous ne le faisons pas seuls et nous nous appuyons énormément sur nos opérateurs et sur des laboratoires de recherche, comme le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ou l'université Gustave-Eiffel. Nous travaillons également sur un appel à projets dans le domaine de la détection précoce.