Il y a des clauses contractuelles et des clauses réglementaires, mais, en tant qu'entreprise privée, nous sommes maîtres d'œuvre et produisons des programmes dans les meilleures conditions. Le service public audite nos comptes et dispose à ce titre de nombreuses informations, mais cet audit intervient après la phase de production.
Nous respectons une grille des salaires, qui est actuellement en discussion, et nous payons d'ailleurs, dans certains secteurs comme le flux, au-delà des minima. Cela ne relève pas d'une demande de l'éditeur. Il s'agit de respecter le droit du travail et ses règles.