Je comprends.
Les appels à candidatures – manifestement perfectibles – ne précisaient pas le genre de contenus que le CSA espérait voir à la télévision. De fait, le CSA – et c'est là une question que je m'efforce depuis quelques semaines d'introduire dans les travaux de notre commission d'enquête – ne s'est jamais prononcé à propos d'une sorte de « télévision idéale » correspondant à ce qu'il aurait pu considérer comme étant l'intérêt du public, et a laissé toute liberté aux éditeurs candidats dans la formulation de leurs propositions. Pourquoi ce choix ?