Ma réponse est clairement non : je n'ai subi aucune intervention ni aucune pression de la part du Gouvernement, de la présidence de la République, du Parlement ou de quelque autorité politique que ce soit pour lancer le processus de sélection. Je suis convaincu qu'il en est allé de même pour mes huit collègues, parce que nous nous parlions tout le temps. Si l'un d'entre eux avait été sollicité ou avait été l'objet d'une pression, il se serait précipité pour m'en parler.