Vous parlez là des grands événements. En football, il s'agit par exemple de la Ligue des Champions. Mais en réalité, il y a un feuilletage, une descente en gamme des droits sportifs, qui conduit en fait à diffuser des compétitions réputées secondaires ou de championnats étrangers auxquels on ne prêtait pas attention au préalable. D'une certaine façon, l'intérêt du public a suivi le capital qui a investi. Adhérez-vous à cette description ?