Vous avez abordé la question des étudiants. Quand les cabinets ministériels des pays africains communiquaient hier en français, ils parlent aujourd'hui en anglais. Y voyez-vous une offensive des États-Unis ?
Ensuite, sauf erreur de ma part, il me semble que les formations de l'Otan réservaient un certain nombre de places aux officiers africains, mais cela n'est plus le cas aujourd'hui, ces places étant plus consacrées aux officiers du Proche et du Moyen-Orient. Le confirmez-vous ? Dans ce cas, d'autres pays ont-ils pris la relève pour assurer la formation d'officiers africains ?