Quitte à mobiliser l'Assemblée nationale, à mobiliser le Sénat et à nous réunir en Congrès à Versailles – tout cela coûte cher –, autant que cela serve à quelque chose. En l'occurrence, à dénoncer et à lutter contre la GPA, cette forme moderne d'esclavage, de marchandisation du travail de la femme et de marchandisation du travail de l'enfant. J'espère qu'un certain nombre d'entre nous en sont convaincus et que nous pourrons saisir cette occasion pour dénoncer, sanctionner et interdire la gestation pour autrui.