J'ai été surpris par le propos de notre collègue Iordanoff. J'imagine que ses mots ont dépassé sa pensée, mais, si j'ai bien compris, l'objectif était de censurer tout débat. « Taisez-vous », nous avez-vous dit, en des termes d'ailleurs assez peu choisis. Nous n'avons pas l'intention de nous taire, cher collègue : nous sommes ici au Parlement.