Le préambule de la Constitution de 1946 garantit pourtant le principe du respect de l'être humain dès le commencement de sa vie, lequel est déduit de celui relatif à la sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d'asservissement et de dégradation. Il est important que nous réaffirmions ces principes.
Je remercie ceux de nos collègues qui, sur plusieurs bancs, ont retiré leurs amendements, démontrant ainsi leur volonté d'avancer et de parvenir à un compromis. Quant à moi, je serais rassurée s'ils nous disaient : « Nous sommes attachés au respect de la vie humaine dès son commencement ». Cela indiquerait qu'ils partagent le sentiment de l'importance de cet équilibre.