Mes chers collègues, je voudrais un peu apaiser les échanges. Je comprends que la rédaction que vous proposez, les uns ou les autres, soit celle qui vous semble idéale. Mais nous avons déjà eu cette discussion en novembre 2022. Aujourd'hui, il me semble que le moment est venu de trouver une solution de compromis qui permette aux femmes de bénéficier d'une sorte de bouclier. Je le précise car, à cet instant, les amendements ne sont pas retirés. En l'état, la rédaction du texte assure une protection suffisante, et le mieux est l'ennemi du bien.
Je pense qu'il ne faut pas nous engager dans des modifications, car ce chemin sans issue ne nous permettra pas d'aboutir et satisfera ceux qui, depuis le début de nos discussions, essayent de tout faire pour nous en empêcher. Mieux vaut tendre la main aux sénateurs.