À cet instant, tout le monde imagine certainement que je serai défavorable aux amendements de suppression. Tout d'abord, je remercie les uns et les autres d'avoir précisé qu'ils exprimaient une position personnelle. Je vais essayer, non pas de vous convaincre, mais de débattre des arguments que vous avez mis en exergue, parce que je suis respectueux de vos opinions personnelles. Nous débattons d'un sujet qui, philosophiquement et pourquoi pas religieusement, ne peut nous conduire à l'unanimité.
Non seulement cette assemblée a largement voté le texte, mais je crois pouvoir dire que nous sommes tous favorables à la loi Veil – la grande loi Veil.
Monsieur Breton, je passe sur cette dérive titiste,