Nous avons tous en tête ce genre de situations. Nous étions tous deux députés lors de l'adoption de la loi Elan et nous avions défendu ensemble un amendement, adopté, qui visait à la confiscation des propriétaires considérés comme des marchands de sommeil. Cela ne résout pas tout, car il est parfois difficile de déterminer qui est marchand de sommeil et qui ne l'est pas.
Ce débat nous renvoie à l'amendement n° 42 de M. Echaniz que nous examinerons tout à l'heure, qui vise à renforcer les précautions contre de telles situations.
Celui-ci me paraît donc satisfait par la mesure de confiscation déjà prévue – d'autant que cette disposition sera sécurisée par l'amendement de M. Echaniz, s'il est adopté. Je vous propose donc de retirer votre amendement.