Puisque la préoccupation première de M. Da Silva me semble être la protection des occupants, je confirme qu'en l'état actuel de la rédaction, si deux arrêtés sont pris à huit ans d'intervalle, l'expropriation est possible. Avec un délai réduit à sept ans, la procédure ne pourrait plus être mise en œuvre. L'exposé des motifs de l'amendement de M. Da Silva plaide presque pour qu'il le retire !