Vous me dites « y a qu'à, faut qu'on, faudrait ». Moi, je vous dis qu'on a proposé d'étendre la justice restaurative. J'y crois profondément et je n'ai pas fini de travailler sur le sujet. Je pense que c'est une façon d'apporter de l'apaisement aux victimes qui consentent à la justice restaurative – elle ne peut pas être obligatoire. C'est aussi une façon de lutter sur la récidive, je partage votre avis sur ce sujet. Vous n'avez pas été au rendez-vous des avancées que nous proposions.