Je voudrais insister sur la nécessité pour le Parlement d'être mieux informé, et beaucoup plus attentif au fonctionnement de l'Arcom. De grosses sommes sont en jeu. Il est indispensable de mener des auditions publiques régulières et affûtées – pas seulement de laisser le président de l'Arcom faire son numéro habituel et prendre deux ou trois questions. Il serait bon qu'un groupe de députés se spécialise au sein de la commission. L'Arcom est une autorité indépendante, et il faut conforter cette indépendance ; il faut aussi contrôler son fonctionnement. C'était le sens de mes propositions en 2016.