Madame Broyelle, vous avez évoqué la tension entre le positionnement du Parlement et la responsabilité que l'on donne à l'Arcom : considéreriez-vous opportun que des parlementaires fassent leur entrée à l'Arcom, à l'image de leur présence au sein du collège de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) ?