Nous avons eu des réunions fréquentes avec le ministère des transports et la Commission européenne jusqu'à ce que le plan soit déposé devant cette dernière, à l'automne 2004. Mme de Palacio était convaincue qu'il fallait filialiser le fret. Si elle n'a pas poussé plus loin sa demande, c'est parce qu'elle sentait que la direction générale de la SNCF était réticente à le faire, pour des raisons sociales que nous avons expliquées. Je comprends très bien son attitude, même si elle allait à l'encontre des souhaits de la Commission européenne.