M. le premier président de la Cour des comptes est venu devant notre commission juste après mon élection et c'était plutôt la conséquence d'un rapport de la Cour sur l'aide au développement, qui avait donné lieu à des échanges assez sévères au Sénat, notamment sur l'action de l'AFD. Cette audition n'avait rien à voir avec la commission d'évaluation dont nous parlons ce matin.
Vous avez raison, ce n'est pas un texte technique mais politique. Mais il me semble que c'est un honneur pour notre commission que de voter une loi, pas une deminutio capitis ! Il m'a aussi semblé que, dès lors que nous étions unanimes et qu'il n'y a pas d'amendements, il n'était pas utile d'encombrer l'hémicycle, d'autant que cette proposition de loi est inscrite dans la niche du groupe auquel j'appartiens. La PLEC m'a paru une solution rapide et plus efficace. Au demeurant, chaque groupe peut la refuser.