Ce débat méritait pourtant mieux que cette coalition funeste de l'ignorance des préjugés et de l'opportunisme. Mes chers collègues de la majorité, ce projet ne tiendra qu'une promesse : le malheur de tous.
Où en sommes-nous ? La question n'est pas seulement de savoir avec qui vous allez voter, mais plus certainement ce que vous allez voter : une politique de quotas migratoires débattue au Parlement, comme le voulait François Fillon ;