La fermeté d'abord, avec la simplification des voies de recours, dont le nombre passe de douze à trois afin que ceux qui n'ont pas vocation à rester dans notre pays s'en aillent dans les plus brefs délais. Rappelons-le : grâce au projet de loi, nous pourrons expulser immédiatement 4 000 étrangers délinquants !
L'intégration ensuite, par l'apprentissage de la langue et l'exigence d'un niveau minimal de maîtrise du français, mais aussi – nous y tenons – par l'accès au travail.