Il faut bien évidemment intégrer la dimension de la reconstruction. Après des événements tragiques, il s'agit d'en tirer toutes les leçons et de mesurer ce qu'il convient de mettre en œuvre en termes de résilience des infrastructures, des équipements et du positionnement des ouvrages et des dispositifs. Cela permettra en outre de faire des économies pour l'avenir, compte tenu de la récurrence des événements. D'ailleurs, nous avons pu voir que tout ce qui était résilient a tenu, contrairement à tout ce qui était provisoire. Il est important de bien intégrer l'après-crise. Il convient, pour cela, de faire certaines choses de manière différente, en les appréhendant avec le souci de la durabilité des travaux.