Cette question s'est posée lors de la tempête Aline. La gendarmerie a participé à l'évacuation d'environ 450 personnes, et elle a dû se montrer insistante. D'ailleurs, nous n'avons pas laissé le choix à certaines personnes résidant dans des zones que nous savions fragilisées depuis la tempête Alex. Par conséquent, nous avons dû mettre des personnes à l'abri contre leur gré. Cela s'est finalement bien passé, mais le recours à la force publique s'est avéré nécessaire afin qu'elles prennent conscience de leur exposition à des risques inutiles.