L'amendement est désormais satisfait par l'article 50 DA adopté par le Sénat. Les anciens harkis et leurs conjoints survivants bénéficieront tous d'une rente viagère, même ceux qui avaient choisi l'option 3 proposée par la loi du 23 février 2005, c'est-à-dire un capital de 30 000 euros.