Monsieur Sansu, vous dites : « Rejetons cet article tout de suite, la nuit sera plus longue ». Non, je suis désolé ! Je ne suis pas d'accord. Ce sont des sujets importants. À minuit, nous nous sommes concertés sur la suite à donner aux débats ; j'étais plutôt favorable à la levée de la séance, mais on m'a dit que les parlementaires souhaitaient poursuivre. Je suis donc tout à fait d'accord pour rester toute la nuit…