Nous avons demandé un scrutin public sur l'article 12, parce qu'il est important que tout le monde prenne ses responsabilités : la majorité en premier lieu, mais aussi ses potentiels alliés. La précédente législature aurait dû vous apprendre que l'action publique demande de l'humilité : vous ne savez pas ce que vous réserve l'avenir. Les Français non plus ne savent pas ce que vous leur réservez.