J'écoute la discussion depuis le début – il est vrai que j'interviens trop hors micro, j'y serai attentif –, mais je ne comprends pas que vous vous soyez constamment référés au Haut Conseil des finances publiques lors de l'examen des deux premiers articles, pour critiquer l'action du Gouvernement, et que maintenant que nous proposons justement de le conforter dans ses missions – afin qu'il puisse éclairer la représentation nationale car, pardonnez-moi, tout le monde n'est pas commissaire aux finances –, vous souhaitiez revenir sur ses prérogatives en supprimant l'article 5.
Je vous reproche également, monsieur le président Coquerel, de toujours voir le pire dans ce que nous proposons.