Dans la même veine, souvenons-nous des regrets que vous exprimiez au sujet d'une éventuelle contribution de l'Agirc-Arrco tirée des excédents de recettes générés par la réforme des retraites. Remplir les caisses, ici encore, n'est pas une fin en soi mais un moyen : en l'espèce, celui de revaloriser les petites pensions de retraite du régime général.
On ne peut que vous comprendre difficilement quand vous nous accusez, d'une part, de servir docilement les intérêts du patronat et que, d'autre part, vous applaudissez des deux mains celles de ses décisions qui vont dans le sens de vos desseins politiques.
La myopie de vos accusations ne s'arrête pas là, puisque vous prétendez que nous soutenons sans contreparties les intérêts de l'industrie pharmaceutique.