Nous voilà arrivés au terme d'un exercice fondamental pour notre société, frustrés et déçus. Pour la seconde année consécutive, nous avons le sentiment de ne pas avoir joué notre rôle de parlementaires. Nous avons la mauvaise impression d'avoir été les simples spectateurs de décisions prise par le seul Gouvernement. Nous ne sommes même pas commentateurs, puisqu'il n'y a pas eu de débats. Ne nous risquons pas à compter le nombre d'heures consacrées à la discussion des articles et des amendements de ce projet de loi ; il est inversement proportionnel à l'importance des sujets qu'il aborde.