L'article 3 constitue en quelque sorte une déclinaison de l'article 2. Il pose de nouveau la question de savoir qui paiera pour réduire les déficits et pour le « quoi qu'il en coûte ». Force est de constater, au vu de vos hypothèses, qu'il en coûtera d'abord à celles et ceux que nous avons applaudis à vingt heures il n'y a pas si longtemps. Ces choix auront des conséquences directes sur le projet de loi de finances (PLF) et sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS).