Nous sommes en soutien de l'amendement CE182, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, si nous ne nous attaquons qu'aux nouveaux flux sans travailler sur les stocks, nous passerons à côté du problème. Il faut resituer notre action dans le contexte de l'urgence écologique et il n'est pas possible de tenir un double discours qui consisterait à prétendre vouloir avancer, mais à ne pas agir en pratique. De plus, le délai de cinq ans nous semble raisonnable et suffisant pour permettre justement de s'adapter à cette obligation nouvelle.