La réponse est très simple : toute entreprise industrielle qui aurait aujourd'hui du mal à payer ses factures, dont le chiffre d'affaires comporterait une part importante d'énergie – 3 %, non pas en 2021, mais fin 2022, pour tenir compte de l'augmentation des coûts de l'énergie en 2022 – doit s'inscrire sur le site de la direction générale des finances publiques (DGFIP) – je ne peux pas être plus précis –, pour demander des aides, dont le montant passera de 2 millions à 4 millions d'euros.
Nous proposons de réserver ce fonds de soutien aux PME, c'est-à-dire aux entreprises qui ont moins de 250 salariés, qui sont les plus petites, fragiles et menacées. Nous ne laisserons pas tomber notre industrie face à la flambée des prix du gaz et de l'électricité. Nous voulons, dans le même temps – tel est l'objectif de cette majorité –,…