Vous vous faites l'écho d'une situation que nous connaissons et sur laquelle nous travaillons d'arrache-pied depuis déjà plusieurs semaines. J'aimerais d'abord rappeler que 28 000 des 35 000 communes de notre pays sont protégées par le bouclier tarifaire puisque toutes les communes employant moins de dix salariés et dont le budget s'élève à moins de 2 millions d'euros bénéficient du tarif réglementé – il y en a certainement dans votre circonscription.
Vous évoquez plusieurs communes parmi lesquelles Neuilly-sur-Marne, dont le maire est reçu aujourd'hui au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires. Vous avez surtout évoqué la situation dans laquelle certains élus se retrouvent : ils reçoivent des factures dont le montant peut considérablement varier, compte tenu de la concurrence que subissent les communes ne bénéficiant pas du tarif réglementé.
Le premier objectif, c'est d'obtenir la baisse des prix de l'électricité puisque des rentes se constituent du fait de la décorrélation entre les prix de production et les prix de revente.