Nous sommes en France, nous élaborons une résolution française – que je défends – au sein d'un ensemble que nous essayons, depuis une soixantaine d'années, de construire et d'améliorer. Prêtez attention aux mots : on ne peut pas parler d'une obligation démocratique pour les autres pays ; cela ne veut rien dire, et c'est comme cela que nous perdons nos concitoyens.