Devons-nous nous habituer à l'affaiblissement permanent de la représentation parlementaire, du travail parlementaire essentiel qui consiste à traduire les besoins de la nation, des débats cruciaux qui ont eu lieu en commission des affaires sociales sur la manière de financer une sécurité sociale à la hauteur des besoins de l'hôpital, des soins de ville, de la santé mentale ? Devons-nous nous résigner face à un gouvernement qui ignore, qui nargue, qui méprise ?