Ce n'est là qu'une infime partie des propositions que nous avons formulées. Mais vous les avez refusées en commission et nous n'avons pas pu en débattre dans l'hémicycle. Madame la Première ministre, mesdames et messieurs les membres du Gouvernement, chers collègues de la minorité présidentielle, la réalité c'est que, dans votre camp, les questions préalables ne sont pas les mêmes que celle que nous nous posons.
Quand nous nous demandons comment améliorer concrètement la vie de nos concitoyens pour assurer leur épanouissement, vous vous interrogez plutôt sur la façon de continuer à détruire notre système de santé, permettre un virage vers le privé, maximiser les profits et assurer une pluie de dividendes aux plus riches de notre société ! .