Vous vous vantez de défendre les salariés français mais, en réalité, c'est tout le contraire : comme il n'y a pas d'harmonisation fiscale et sociale à l'échelle de l'Union européenne, ils sont mis en concurrence avec des gens qui gagnent deux fois moins qu'eux. Il faut avoir le courage de le leur dire ! À cause des accords actuels, ils connaissent des fins de mois difficiles et la pauvreté progresse.
Vouloir conditionner les nouvelles adhésions à une harmonisation fiscale et sociale, ce n'est pas être contre l'Europe, c'est vouloir garantir une protection à tous les travailleurs de l'Union.