Même cause, même effet : si la concertation n'aboutit pas, nous risquons de devoir nous retrouver dans un an pour discuter d'une autre prorogation. Plutôt qu'une nouvelle discussion conduite dans l'urgence, nous préférons nous donner deux ans pour réfléchir à l'évolution du titre-restaurant, par exemple à la question des personnes qui télétravaillent : il serait opportun que celles-ci puissent se nourrir de produits sains qu'elles peuvent cuisiner à leur domicile. Je laisse de côté la question du chèque alimentaire sur laquelle il faut également se pencher, car tout le monde ne bénéficie pas du titre-restaurant.