Ce n'est pas à l'État seul de décider d'un droit social. Il nous faut échanger avec ceux qui financent à 60 % le titre-restaurant, à savoir les employeurs, et avec ceux qui en bénéficient, les employés, qui le soutiennent à hauteur de 40 %. Le temps de la concertation est incompressible ; nous devons dialoguer avec l'ensemble des acteurs paritaires, à savoir le Medef, la CPME, l'U2P, FO, la CFTC, la CGT, la CFDT et la CFE-CGC. L'avis est donc défavorable.