1,5 milliard d'euros par an sont nécessaires pour la prévisibilité des bailleurs sociaux. Ces montants leur permettraient de ne pas se contenter de progresser d'un petit pas sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), mais de réaliser un bond qu'à ce jour, ils n'ont pas les moyens de faire. Ce serait une manière plus efficace d'utiliser les deniers publics.