On peut bien sûr sauter sur sa chaise comme un cabri en lançant : « La dette, la dette, la dette ! ». Mais cela n'aboutit à rien, ne résout rien. Ou plutôt, cela provoque ce pour quoi l'on agite sans arrêt ce débat : la peur. Ce que l'on propose pour y faire face, ce sont la baisse des dépenses publiques, des réformes structurelles – comme on le voit actuellement à propos des retraites ou de l'assurance chômage – voire des privatisations, comme c'est le cas depuis de nombreuses années.
C'est exactement ce qui nous sera proposé d'ici à 2027 au nom d'un retour du déficit à 3 %. Non, Gabriel Attal, je ne salue pas le fait que votre maîtrise des dépenses publiques soit la meilleure de la V