Mes chers collègues, je ne prétends pas qu'un « pognon de dingue » est dépensé dans l'hébergement. J'observe simplement que les sommes investies sont élevées et en forte augmentation depuis 2018. Nous avons désormais la possibilité de ne plus fermer de places d'hébergement et toute l'année, 365 jours par an, des personnes sont hébergées. Y en a-t-il encore à la rue ? La réponse est oui. Vous réclamez 160 millions d'euros sans expliquer les raisons de cette requête. Cela me semble décorrélé des besoins réels, c'est pourquoi je vous invite à retirer votre amendement, ou bien j'émettrai un avis défavorable.